L'inauguration du 7 septembre sera donc
un moment qui figera dans le temps la dynamique du lieu. La Barjo
2024 est d'une part le fruit du travail d'une association présidée
par Élodie Caron et portée par cinq membres du bureau, une
vingtaine de bénévoles, une cinquantaine de sympathisants, et 90
élèves qui bénéficient des divers ateliers.
Un lieu de culture et
d'échanges sur lequel s'est greffé les ateliers de l'oncle Zig-Zag,
une offre désormais complétée par des cours pour enfants, de la
couture, de la calligraphie, de l'enluminure, du modèle vivant, et au
delà des arts plastiques du théâtre et du chant.
Un panel qui
reflète les talents qui se sont rassemblés à la Barjo : « le
projet à su évoluer en fonction des rencontres qu'on a faites ».
En effet, de la girouette aux poèmes de Nico Minair, l'endroit a été
source d'inspiration et de nombreuses pièces ont été littéralement
ajoutées.