Un plateau international qui sera une des marques de fabrique de ITD, mais qui résulte surtout de contacts pris en fonction de leur rareté dans notre pays, « cela fait dix ans que Desaster ne s'est pas produit en France, et pour voir Schizophrenia c'est au Hellfest ou chez nous », explique Frédéric Cotton de Nord Forge en ajoutant : « les exclusivités sont pour nous l'expression d'une qualité, plutôt que sur un festival de quantité ».
Nous le disions plus haut, tous ces
groupes se produiront sur la scène du théâtre, et un cinquième
nom à l'affiche jouera à la salle du fumoir, en l'occurrence Kesys. Venu
de Bordeaux, l'artiste proposera deux sets de 25 minutes, des « temps
de pause comme des entractes animées » qui exploitent une fois
de plus les différentes facettes du lieu. Ces moments entre les
concerts n'en sont pas moins remarquables comme le rappelle
Frédéric : « l'année dernière nous avions Déhà, qui
a sorti un album live de sa prestation à Denain ».
Outre cette
programmation hors grande-scène, ITD a tout d'un festival vivant
avec son offre de stands et rafraîchissements avec notamment la
bière brassée spécialement par les Bonnettes, ou la présence de
partenaires tel Malpermesita Records & Bookstore.